JEAN-LUCE HURÉ

"Jean-luce est ce que les Japonais appellent un maître dans son oeuvre"
Suzy Menkes

Jean-luce photographie le monde de la mode à Paris depuis les années 60.  Ses photos ont parus dans le Women's Wear Daily et W de 1966 à 1975.  Pendant la même période il commence sa collaboration avec le New York Times qui continuera pendant quarante ans.  Pendant cette période, quand les couturiers révolutionnaient le monde de la mode il a joui d’un accès unique a la culture de la mode.

Suzy Menkes écrit dans l’International New York Times: ‘Jean-luce a accumulé un témoignage extraordinaire de la mode de la deuxième partie du 20th siècle.  Pensez-y comme un coffre au trésor qui contient la clef de l’histoire de la mode. Il a capturé dans son objectif les premiers défilés de Sonia Rykiel, quand la jeune couturière lisait ses poèmes féministes pendant que défilaient ses modèles et que les rédactrices de mode étaient en larmes en l’écoutant.

Il a pris ses premières photos avec un Kodak Brownie que sa mère lui a offert quand il avait 8 ans,des photos de musiciens,amis de sa mère pianiste. A dix-huit ans sa passion pour la photographie est inébranlable. Un portraitiste connu l’accepte comme apprenti mais finalement quand il s’aperçoit qu’il est gaucher il change d’avis  ‘Jeune homme, vous connaissait beaucoup de photographes gauchers ? c’est pour une bonne raison que les appareils photos sont fait pour les droitiers.’  Sans l’opportunité d’apprendre avec un mentor Jean luce décide de se lancer tout seul et il est toujours resté indépendant depuis, développant le style particulier qui est le sien.

Fidèle à lui-même, il ne se laisse pas décourager par un ‘Pas de photographes !’ de Louis Armstrong.  Le lendemain après le concert du grand trompettiste à l’Olympia à Paris il y avait une photo à la une dans le journal Paris-Presse de Satchmo dans sa loge, son fameux mouchoir blanc noué aux quatre coins sur la tête comme une couronne, souriant devant son objectif. Des photos de Yehudi Menuhin, Pablo Casals, Maria Callas, Sviatoslav Richter, Rostropovich, Duke Ellington, Errol Garner, Dizzy Gillespy, ont rapidement suivi.

En 1973 le magazine Vogue demande à Jean-luce de faire les photos pour les pages ‘People’ cette collaboration continuera pendant plus de 30 ans.

Les Photographies de Jean-luce ont aussi été publiées dans Life, Time, Newsweek, Town and Country, Vanity Fair,  Los Angeles Times, Chicago Tribune, Philadelphia Enquirer, San Francisco Chronicle, American, Russian, Italian ,English Vogue, Elle, Marie Claire, Le Figaro,  Stern, der Spiegel,  La Stampa.

En 2003, Paris Photo demande à Jean-luce d’exposer son travail pendant Le Mois de La photo.  l’exposition s’appellera: “30 ans de Mode-Fashion Forever”

En 2009 il a été décoré Chevalier des Arts et Lettres.

 

 

Jean-luce has been photographing the Paris fashion scene since the sixties. His pictures appeared in Women's Wear Daily and W from 1966 to 1975. At the same time he began his collaboration with The New York Times which continued for forty years. During this period, when designers were turning the fashion world on its head, he enjoyed a unique access to the fashion culture.

Suzy Menkes writes in the International New York Times: ‘Jean-luce has compiled an extraordinary record of fashion in the second half of the 20th century. Think of it as a treasure chest, containing the key to fashion history. He caught in his lens Sonia Rykiel’s early shows, when the young designer read her feminist poetry and the editors would be in tears.’

Jean-luce’s first photographs were of musician friends of his mother, a concert pianist, taken with a Kodak Brownie she gave him when he was 8 years old. By the time he was eighteen his passion for photography proved to be unwavering. A well-known portraitist who had accepted him as an apprentice suddenly withdrew his offer when he realized Jean-luce was left-handed. ‘Young man, there are no left-handed photographers for a good reason; cameras are made for right-handed people.’  Without the opportunity to learn from a mentor, Jean-luce struck out on his own and has remained independant ever since, developing the unique personal style that is his.

True to form, Jean-luce did not let a ‘no photographers’ order from Louis Armstrong discourage him. The morning after the great trumpeter performed at the Olympia Theatre in Paris there was a front page photo of him in his dressing room, the signature white handkerchief tied crown-like on his head, smiling for Jean-luce’s lens. Photos of Yehudi Menuhin, Pablo Casals, Maria Callas, Sviatoslav Richter, Rostropovich, Duke Ellington, Erroll Garner, Dizzy Gillespy, followed.

In 1973 French Vogue asked Jean-luce to photograph events for their ‘people’ pages and the collaboration continued for over thirty years.

Jean-luce’s photos have also appeared in Life, Time, Newsweek, Town and Country, Vanity Fair, Los Angeles Times, Chicago Tribune, Philadelphia Enquirer, San Francisco Chronicle;  American, Russian, Italian and English Vogue, Elle, Marie Claire, Le Figaro, Stern, Der Spiegel, La Stampa.

In 2003 Paris Photo asked Jean-luce to exhibit his work: ’30 ans de Mode’. In 2009 he was decorated Chevalier des Arts et Lettres.

Copyright © 2015 Jean-Luce HURÉ Photographer